Kerubim Crépin est héros du Krosmoz, il avait bien le droit à son histoire en BD dans la collection « Dofus Heroes » ! Convoqué pour sauver la ville de Lombrocorp, l’aventurier souhaite surtout sauver son adorée Lou. Cependant, les rats et son amnésie sont de coriaces adversaires.

Kerubim (tome 1)
Scénario : Éric Hérenguel
Dessin : Julien Ribas
Éditeur : Ankama Éditions
Genre : BD Jeunesse, Fantastique
Collection : Dofus Heroes
Sortie : 16 mai 2013
Pages : 46 pages
Dimensions : 29,5 x 20,5 cm
Résumé : Sauver la ville de Lombrocorp tyrannisée par le roi des rats, le terrible Sphincter Cell : voilà une mission pour Kerubim Crépin ! D’autant que la jolie Lou est en danger. Un défi de plus pour le grand aventurier Ecaflip, sauf que tout n’est pas si simple… Non seulement Indie Delagrandaventure essaie de le doubler, mais en plus Kerubim est sujet à des troubles de la mémoire et à des cauchemars. Et si encore il pouvait compter sur l’aide de son « ami » Crocosec… Avec Kerubim dans la collection DOFUS Heroes, découvrez une aventure inédite du héros de la nouvelle série d’Ankama qui vous en dira plus sur son passé.
Tout ou rien
« Tout ou rien », c’est la devise des Écaflips, ces chats qui jouent avec le hasard, la chance, la bonne fortune. C’est aussi, je pense, la formule avec laquelle on peut résume cette histoire de Kerubim. Exposons d’abord la situation. Kerubim est un héros connu du jeu Dofus. Cette collection de BD, Dofus Heroes, propose de raconter des aventures de ces différents héros. Le premier obstacle qui se pose à la BD – selon les avis que j’ai lus – c’est la lecture profane. Semblerait-il que pour quelqu’un qui ne connait pas l’univers, l’histoire contient beaucoup trop de références – malgré pourtant les explicitations. Au-delà de ça, c’est surtout que le premier tome n’est absolument pas suffisant pour comprendre l’intrigue. Avant même d’écrire cette chronique, j’ai attendu la lecture du second tome pour en parler. Si la BD est divisée en deux tomes, l’histoire elle n’est absolument pas découpée dans cette mesure. Au point qu’à la fin du premier tome de Kerubim, on n’y comprends rien. Si les dessins sont parfois charmants, l’histoire est brouillon. Ce qui interpelle le plus, c’est tout de même la jeunesse racontée du personnage. Il y a un degré quelque peu touchant. Au-delà de ça, l’histoire est tout de même assez sympathique. Elle essaie de raconter des choses, elle est colorée et de proposer de l’action. Il manque cependant de vrais enjeux de fond.
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